30 septembre, 2004

La première prise murale Wi-Fi au monde

Article
Aruba Wireless Networks et Ortronics, l’un des leaders mondiaux des systèmes de câblage structuré d’entreprise, viennent de mettre au point la première prise murale Wi-Fi au monde. Ils n’ont pas fait connaître les termes financiers de ce contrat de développement stratégique.

Actuellement objet d’une demande de brevet, la nouvelle prise murale baptisée « Wi-Jack Wi-fi » sera fabriquée et commercialisée par Ortronics. Elle permettra d’intégrer directement la dernière génération de technologie sans fil d’entreprise LAN (WLAN) d’Aruba dans la prise murale d’un réseau d’entreprise. Aujourd’hui, la plupart des points d’accès nécessitent un câblage au plafond qui coûte cher et entraîne des frais d’exploitation élevés et récurrents. En déployant des prises murales Wi-Fi à l’intérieur d’un système sans fil structuré, les entreprises peuvent maintenant se doter d’un environnement sans fil haute capacité et haute performance, rentable et facilement administrable à partir d’un emplacement centralisé.

Le dilemme Wi-Fi de l’entreprise
La technologie Wi-Fi classique actuellement utilisée par les entreprises ne leur permet pas de fédérer leur environnement sans-fil. Chaque point d’accès fonctionne de façon autonome et présente des caractéristiques et fonctions administrables indépendamment. Les coûts de fonctionnement, le maintien de la sécurité et la complexité de l’administration ont fait du déploiement Wi-Fi une opération problématique. Le réseau sans fil structuré, dont Aruba et Ortronics sont les initiateurs, transforme le modèle courant de déploiement du sans fil en entreprise. Le sans-fil structuré intègre les fonctions des points d’accès dans un système de contrôle centralisé qui coordonne le fonctionnement et l’optimisation de la totalité de l’environnement sans-fil. C’est un mode de mise en place plus rentable, plus facile à gérer et plus sûr pour les réseaux d’entreprise de norme 802.11.

« Ortronics et Aruba ont conjugué leur expertise du câblage structuré et du réseau sans fil structuré pour donner naissance à une innovation qui fait date », estime John Selldorff, Président d’Ortronics. « Aruba a une parfaite compréhension des réseaux sans fil d’entreprise et possède le seul système capable de prendre en charge les environnements sans fil haute capacité que les prises murales Wi-Fi autorisent à présent. Nos clients disposent donc aujourd’hui d’une option Wi-Fi supplémentaire pour installer leurs systèmes de câblage structuré. »


La première prise murale Wi-Fi

Intégrant la technologie de point d’accès Aruba de type « grid point (GP), borne de distribution WiFi sécurisée », la nouvelle prise murale Wi-Jack Wi-Fi constitue la solution idéale pour le déploiement de systèmes sans-fil haute performance en cas de nouvelle installation ou de rénovation.

Chaque Wi-Jack est équipé d’une borne radio unique de type 802.11a (54 Mbps) ou 802.11 b/g (11 et 54 Mbps). Wi-Jack peut aussi servir simultanément d’analyseur de fréquence radio (GM, grid monitor) et permettre au personnel informatique de visualiser et de contrôler le spectre RF.

Ortronics a tout d’abord entrepris la fabrication de deux modèles différents de Wi-Jack. L’un assure les connexions Ethernet sur deux fils avec un point d’accès Aruba intégré derrière le couvercle et l’autre présente un seul point d’accès Aruba sans port Ethernet additionnel. Chaque Wi-Jack se raccorde à un contrôleur sans fil Ortronics qui utilise la technologie de commutation WLAN de Aruba.

Une fois installé, le Wi-Jack est automatiquement configuré et administré par le contrôleur WLAN sans fil. À partir du contrôleur, les administrateurs peuvent définir les niveaux de transmission, modifier les attributions de canaux, assurer toutes les fonctions de sécurité exigées par les WLAN, faire basculer les modes de fonctionnement (GP ou GM), imposer des contrôles d’accès utilisateur et maîtriser de nombreux autres attributs du réseau sans fil.

« Avec notre partenaire Ortronics, nous sommes en train de révolutionner les normes de coûts, de déploiement et de performances du sans fil en entreprise », souligne Pascal DESAINT directeur général France et Europe du sud d’ARUBA . « Nous oeuvrons en faveur de la réduction des coûts de déploiement des réseaux sans-fil et de la restitution de la maîtrise au personnel informatique à travers nos solutions sécurisées haute performance qui reposent sur cet engagement ».

Prix et disponibilité
Le nouveau Wi-Jack sera commercialisé à la fin du mois de septembre par Otronics. Les distributeurs agréés et/ou les installateurs certifiés communiqueront alors des informations précises sur la tarification et les caractéristiques des produits.

29 septembre, 2004

Audioblog Philippe KERIGNARD

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Un blog multimédia avec du texte, des photos, des pistes audio, manque la vidéo, je vais y travailler..

Test d'audioblog

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Super, ça marche sur Blogger, domage que le N° de téléphone soit un N° au Etats-Unis !! On attend un numéro local en France, ça coutera moins cher. PhK ;-)

Les étiquettes RFID nouvelle cible pour les hackers ?

Article
C'est lors d'un séminaire sur la sécurité qui s'est tenu à Las Vegas que Lukas Grunwald, un consultant allemand expert en sécurité, aurait mis en garde les vendeurs utilisant la RFID en indiquant que cette technologie pouvait facilement être hackée grâce à des produits appropriés.

Il aurait ainsi aidé à concevoir un logiciel pour lire et reprogrammer des tags RFID. Appelé RFDump, le programme serait capable d'afficher les metadatas d'une étiquette RFID et de les modifier en utilisant un éditeur Hex ou ASCII. Il permettrait à un utilisateur équipé d'un lecteur RFID, un ordinateur portatif ou un PDA et une alimentation de réécrire les données stockées dans les étiquettes ISO 15693, les plus communes utilisées pour recueillir l'information EPC (Electronic Product Code), information traditionnellement stockée dans les codes barres.

Lukas Grunwald, cité par News.com, a développé à l'origine le procédé pour permettre aux consommateurs de se protéger. "Chacun devrait avoir le droit de pouvoir effacer les étiquettes RFID une fois l'achat réalisé" dit-il. Supprimer l'information sur les étiquettes permettrait en effet aux personnes de stopper toute traçabilité sur les produits qu'ils acquièrent, notamment dans les centres commerciaux.
Mais il reconnaît que le procédé peut être facilement détourné. Des étiquettes RFID sont déjà utilisées sur des produits vendus par des détaillants aux Etats-Unis pour faciliter notamment leur inventaire. Des gens malhonnêtes pourraient facilement duper les vendeurs en changeant l'identité des marchandises, en modifiant le prix d'un article par exemple et en le passant par la suite à des caisses de paiement automatisées. Des jeunes hackers pourraient essayer de dévier les restrictions d'âge sur les boissons alcoolisées et les films pour adultes, les plus espiègles créer une confusion en permutant aléatoirement les étiquettes, nécessitant alors un inventaire manuel des magasins, indique le consultant.

Trouver une solution pour résoudre ce problème de sécurité risque d'être chose difficile. S'il est possible de chiffrer les données RFID, il n'y a pas encore beaucoup de matériel disponible pour craquer les clés cryptographiques. Et les étiquettes capables de réaliser ces tâches sont parmi les plus chères du marché. Grunwald indique que les propriétaires de magasin pourront avoir un serveur de données qu'ils utiliseront pour pister leurs marchandises en utilisant un numéro de série inchangeable sur l'étiquette RFID, mais cela risque de complexifier davantage l'adoption de cette technologie.

Wi-Fi finder via SMS

Article
"UK company Total Hotspots is now offering a new service to British phone users track down public Wi-Fi hotspots at cafes and other locations via their phone. Subscribers on Vodafone, Orange, O2, and T-Mobile GSM networks in the UK can now send an SMS message 'hotspot' to SMS number 84140. The service will then return a message containing the name, address, and phone number of nearby Wi-Fi locations, based on the phone cell the user is currently using. The service will not come cheap, however. Each request will cost 1 GBP (about $1.79 USD). "

Nokia, P2P sur un réseau cellulaire

Article par Philippe Astor ZDNet France
Une équipe de chercheurs du constructeur Nokia a étudié la faisabilité des échanges en mode "peer-to-peer" entre téléphones mobiles. Un prototype de réseau fonctionnel est déjà en place. Mais de nombreux obstacles restent encore à franchir.

«Le partage de contenus entre téléphones mobiles via Gnutella ou un protocole similaire est réalisable», vient de conclure une équipe du Nokia Research Center; une cellule du groupe finlandais installée à Budapest (Hongrie). Dans une étude préliminaire (*) publiée la semaine dernière, les chercheurs ont permis de déterminer la meilleure typologie de réseau "peer-to-peer" à adopter pour ce type d'application, au terme de simulations effectuées avec des combinés Nokia 6.600.

Le prototype de réseau développé pour l'occasion peut d'ores et déjà être utilisé pour échanger des images ou du texte. Mais l'équipe de Nokia voit plus loin. «De nos jours, vous pouvez prendre des photos et enregistrer des vidéos avec un téléphones mobile. Nous pensons d'abord à ce type de contenus», confie à l'hebdomadaire anglais New Scientist Lorant Farkas, l'un des signataires de l'étude. Et selon lui, les futures versions devraient également permettre l'échange de fichiers musicaux compressés.

Le système expérimental de Nokia fonctionne avec des téléphones cellulaires sur des réseaux de type GPRS, qui permettent de facturer l'abonné en fonction de la quantité de données échangées plutôt que du temps passé en ligne. Les simulations et les tests des différentes topologies de réseau P2P ont pu être réalisés grâce à un simulateur de réseau cellulaire, mis au point en collaboration avec l'université de Budapest.

Vers l'interconnexion IP de terminaux fixes et mobiles

L'équipe de Nokia a d'abord fait le choix d'une structure de réseau P2P optimisée, dans laquelle les utilisateurs sont regroupés en "clusters" (en grappes). Chaque combiné maintient une liste des fichiers disponibles sur les autres terminaux d'un cluster et peut répondre aux requêtes internes et externes, jouant ainsi un rôle de "supernoeud" local.

Mais de nombreux problèmes devront être résolus avant que ce type de réseau P2P mobile puisse être mis en oeuvre à grande échelle; ils tiennent notamment aux faibles capacités des combinés actuels en termes de puissance de traitement, de bande passante, d'autonomie ou de stockage.

Un autre facteur défavorable est le caractère peu flexible des réseaux cellulaires par rapport à un réseau IP. Mais dans ce domaine, Nokia et le japonais Nec ont mené des tests concluants d'interconnexion de terminaux mobiles et fixes via le protocole IP. Ils se sont appuyés sur une technologie baptisée IP Multimedia Subsystem (IMS), parfaitement adaptée à des services multimédias comme le partage de contenus vidéo ou la voix sur IP.

Mobiluck, la communication inter personnelle de proximité

J'ai eu l'occasion de rencontrer Olivier CHOURAKI, le Président de Mobiluck lors d'une table ronde à laquelle nous participions lors de la Fête de la Mobilité organisée par la FING
J'avais déjà vu ce type d'application il y a 2 ans lors de mon expatriation dans la Silicon Valley pour des applications un peu plus professionelles Inventop
Mais là j'avoue que l'ergonomie, la facilité de transfert et la potentialité de viralité du concept sont géniales. Les jeunes, comme en Angleterre, vont s'arracher le concept. Le Peer 2 Peer mobile est déjà là !! Ca va être énorme !!! Surtout que les utilisateurs de Mobiluck transferent par Bluetooth, chaque mois, l'application à 4 autres utilisateurs, il y en A 100 000 à cette date !! ENORME, ça va être ENORME !!!
Philippe ;-)

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MobiLuck lance un logiciel pour envoyer gratuitement des messages avec son téléphone portable jusqu’à 15 mètres !

Le logiciel de démonstration de la start-up française, proposé en téléchargement depuis le 1er Juin 2004 sur www.mobiluck.fr, a déjà été téléchargé par plus de 30 000 utilisateurs dans 140 pays et traduit en 15 langues. Ce logiciel fonctionne sur des téléphones portables haut de gamme et utilise la norme de communication sans fil Bluetooth.

Il permet de détecter tous les appareils Bluetooth situés à proximité et de leur envoyer des messages, des fichiers et des cartes de visite gratuitement sans passer par le réseau téléphonique, et sans même connaître leur numéro de téléphone.

La technologie MobiLuck est disponible sur les téléphones portables Bluetooth dotés du système d’exploitation « Symbian Series 60 » (Nokia 7610, 6600, NGage, 3650, 7650, Siemens SX1), il en existe aujourd’hui plus de 15 millions dans le monde.

MobiLuck est un des premiers éditeurs à avoir obtenu la certification « Symbian Signed » qui atteste la fiabilité et la qualité technique de son logiciel. Celui-ci est également en cours de développement en version Windows Mobile et Java. MobiLuck a pour objectif de supporter 25% des téléphones portables du marché en 2007. Le logiciel de MobiLuck fonctionne exclusivement sur des téléphones évolués, il peut néanmoins communiquer avec les téléphones Bluetooth d’entrée de gamme, soit plus d’1 téléphone portable sur 10.
mobiluck

Panasonic : quand le téléphone mobile sert aussi de caméscope

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Le Panasonic X300 est en apparence un beau petit téléphone bien « designé » : tons noir et argent, poids plume (87 grammes !), un écran qui restitue très bien les couleurs et qui présente une taille suffisante pour visualiser confortablement les différentes applications.

La surprise, sur le X300, c'est ce petit clapet, logé sur son côté gauche : un premier mouvement vers le bas, et apparaît l'objectif de l'appareil photo intégré. Un second mouvement vers le bas, et voici que l'écran du téléphone effectue une rotation à 90 ° pour permettre à son utilisateur de mieux visualiser les clichés qu'il prend… et les vidéos qu'il enregistre.

Avec cette fonctionnalité, le X300 prend clairement des airs de caméscope miniature. Mais des airs seulement, puisque la durée des fichiers enregistrés n'excède pas une minute. Il faudra donc attendre les téléphones avec disque dur intégré pour se permettre de filmer des extraits un peu plus longs !

Pour patienter, il faudra quand même débourser 350 euros pour ce petit bijou technologique !

(Atelier groupe BNP Paribas – 28/09/2004)

Les applications à venir sur nos téléphones portables

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Depuis le 13 septembre dernier, le site de l'Atelier proposait à ses visiteurs de s'exprimer sur la question suivante : « Parmi les fonctionnalités qui devraient s'ajouter à nos téléphones mobiles, laquelle vous semble la plus intéressante ? ».

Plus de 170 visiteurs ont participé à ce sondage , et choisi l'une des quatre propositions suivantes :

la télévision,
le paiement électronique,
le lecteur MP3,
la géolocalisation de ses contacts,
la visiophonie.
Parmi ces applications, c'est la géolocalisation des contacts qui a obtenu le plus de suffrages, avec 28,2 % des votes. Vient ensuite la visiophonie (24,7 %), puis le paiement électronique et le lecteur MP3 qui se placent à la troisième place en totalisant chacun 19 % des suffrages. Recalée, la télévision n'a intéressé que 9,2 % des votants.

(Atelier groupe BNP Paribas – 28/09/2004)

Test de PhotoMobLog intégré dans Blogger

Bonjour je teste ce soir l'intégration d'une syndication de mon photoblog Buzznet dans Blogger et ça a l'air de fonctionner.